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si vous êtes fans de jeux vidéos ou de mangas venez !!!!! blog mangas videos inscription little big planet publié 22 février 2011 dans ps3 1 commentaire éditeur : sony développeur : media molécule type : plateforme / autres sortie france : 19 janvier 2011 ( 18 janvier 2011 au etats unis ) classification : déconseillé au – de 7ans etat du jeu : disponible littlebigplanet 2 est un jeu de plates-formes sur ps3. dans le jeu vous dirigez un petit personnage (que vous aurez créé au préalable) dans un univers qu’il faut traverser en vous servant des objets récoltés et de ceux présents sur le tableau. vous pouvez vous aider de l’environnement et de vos amis pour surmonter les obstacles et créer vos propres niveaux pour les proposer aux autres joueurs via internet. videos publié 9 février 2011 dans 3ds 0 commentaires http://www.youtube.com/watch?v=vlmnhejj7io test de grand turismo 5 publié 5 février 2011 dans ps3 0 commentaires genre : course/simulation thème : automobile côté gameplay, il faut bien admettre que les premiers contacts avec la bête font rapidement retomber l’excitation. a croire que les cinq années de développement ont servi à tout autre chose qu’à corriger et faire évoluer le gameplay ! pour ainsi dire, le dépaysement est nul, chacun des mécanismes cher à la série a été reconduits, qu’il soit bon ou pas. outre une impression de vitesse pas toujours évidente en vue extérieure (même avec des bêtes de courses), on doit composer avec une conduite hyper rigide empêchant tout skill ou improvisation. gran turismo est de fait toujours un jeu de contre-la-montre plus qu’un véritable jeu de courses. cela se ressent d’ailleurs rapidement lorsque les premiers contacts inter-carrosseries viennent perturber la bande-son de bruitages en partie ratés. peut-on toujours s’appuyer sur un adversaire pour prendre un virage ? oui. rebondit-on toujours en rentrant vigoureusement dans un rail de sécurité ou dans un mur invisible ? oui. l’ia paraît-elle toujours aussi lourde et indéboulonnable de sa trajectoire ? oui. est-il toujours possible de couper vulgairement un virage sans craindre la moindre pénalité ? oui (non en ligne). alors, les développeurs sont-ils têtus et enterrés dans un lot d’idées caduques ou ont-ils préféré ne prendre aucun risque pour ne pas froisser le fan-boy qui digère mal le dépaysement ? sans doute un peu des deux. toujours est-il que gran turismo est passé du statut d’avant-gardiste à celui de simulation quasi obsolète. véritable emblème de gran turismo, les permis n’ont, sans surprise, pas bougé d’un iota dans cet épisode et se découpent toujours en cinq séries de 10 épreuves à la difficulté crescendo. b, a, ia, ib, ic et s, ils nous invitent à accélérer avant de freiner dans une zone donnée, à enchaîner des virages ou encore à doubler un certain nombre de véhicules contrôlés par l’i.a., le tout, presque toujours dans le temps imparti. rien de neuf à ce niveau-là non plus donc, et l’on se tournera du coup vers la partie a-spec correspondant aux habituelles courses sur asphalte. classés par niveau de difficulté et se débloquant au fur et à mesure grâce au système d’expérience, ces mini-championnats (une cinquantaine en tout) s’enchaînent de la façon la plus classique possible et nous invitent à changer régulièrement de véhicule en plus de nous balader un peu partout dans le monde, sur des circuits tantôt imaginaires (deep forest, trial mountain, etc.), tantôt bien réels (circuit du mans ou de top gear, laguna seca, suzuka, le nürburgring, daytona, …) voire en pleine ville (rome, londres, madrid). petit détail, on ne peut pas visualiser les montures de nos concurrents avant de s’engager sur la ligne de départ – du moins, pas avant d’avoir patché le jeu en version 1.01. cette mise à jour corrige en effet ce souci assez pesant, tout en ajoutant le mode de jeu en ligne. ouf, il était moins une. note de rédaction : 14/20 test de god of war 3 publié 5 février 2011 dans ps3 0 commentaires genre : action/aventure thème : mythologie en 2007, nous avions laissé le spartiate revanchard aux portes de l’olympe, accompagné d’une horde de titans bien décidés à prendre l’ascendant sur zeus. se concluant sur un insoutenable cliffhanger, sony avait réussi son pari en créant l’attente avant même que god of war iii ne soit même évoqué. quelques années plus tard, kratos nous revient, toujours prompt à gravir les pans imprenables d’un domaine divin afin de réclamer son dû. suite directe du précédent volet, le quatrième épisode de la saga fait face au passé du guerrier baignant dans la culpabilité et le sang afin de construire un avenir rédempteur. si nous nous garderons bien de vous révéler les tenants et les aboutissants d’une telle destinée, sachez que l’histoire de kratos se veut cette fois plus profonde. pas de quoi prétendre à un oscar mais bien suffisant pour prolonger une aventure débutée il y a déjà cinq ans. depuis l’avènement du premier god of war en 2005, les studios de santa monica sont précédés d’une réputation flatteuse, celle du travail bien fait. god of war iii confirme définitivement leur degré d’expertise, en s’imposant haut la main comme l’un des plus beaux jeux actuels. domptée comme jamais, si l’on excepte uncharted 2, la playstation 3 fait la démonstration de toutes ses ressources en offrant un déluge d’effets graphiques et en animant sans broncher des modèles d’une rare complexité (poseidon, les titans), détaillés jusqu’à l’extrême. certes, le jeu semble moins fluide que les épisodes ps2 en leur temps, mais comment le lui reprocher avec tout ce qu’il est en mesure d’afficher sans que le frame rate ne fléchisse ? dieu parmi les hommes, kratos a naturellement eu droit à un traitement de faveur. chaque gros plan du héros est un festin pour les yeux, tant la modélisation donne l’impression de contempler un acteur de chair et d’os. imparfait, élastique, cuivré, le traitement du grain de la peau se révèle particulièrement impressionnant. et que dire des gerbes de sang ennemi qui éclaboussent temporairement kratos, ajoutant à la sauvagerie de l’ensemble. les environnements majestueux ne sont évidemment pas en reste, mis en évidence par des mouvements de caméra certes imposés, mais toujours bien choisis. une fois de plus, les développeurs ont montré toute leur application à donner vie aux aspirations de leurs équipes artistiques, si bien que chaque décor semble directement sorti d’un livre d’illustrations. homère aurait adoré. note de rédaction : 18.5/20 test de call of duty : black ops publié 30 janvier 2011 dans ds , pc , ps3 , wii et xbox 360 1 commentaire genre : fps thème : guerre véritable enjeu pour activision, la licence call of duty est depuis déjà quelques années dévolue à deux développeurs : infinity ward, son créateur, et treyarch, qui s’occupe depuis 2006 des volets impairs de la série – les moins bons, en fait. après quatre ans de garde partagée, le second couteau pourrait néanmoins enfin tenir sa chance avec call of duty : black ops, dont le lancement est accompagné d’une campagne marketing au moins équivalente à celle d’un épisode infinity ward. surtout, le studio s’est enfin décidé à lâcher la seconde guerre mondiale et nous livre un épisode libéré de pas mal de contraintes historiques. et ça se ressent… a travers la campagne composée d’une quinzaine de missions et qu’on bouclera en un peu plus de 6 heures en mode vétéran, on se retrouvera donc à batailler à cuba lors du légendaire ratage de la baie des cochons, dans la jungle étouffante du vietnam, dans un goulag puant, à baikonour au kazakhstan, sur une rivière boueuse du laos, et dans bien d’autres coins du monde que nous vous laissons le soin de découvrir. le solo black ops est certes très court, mais il offre beaucoup de variété et une action maîtrisée. treyarch a certes recyclé quelques séquences issues des précédents volets, mais sans abuser, réduisant souvent ces scènes à deux ou trois minutes maximum. on aura donc bien droit à une poursuite en moto calquée sur les jet-sk